L’action de l’UFCV dans la lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans le champ de l’animation

L’UFCV est revenu sur les violences sexistes et sexuelles dans le champ de l’animation et sur les engagements entrepris pour prévenir et enrayer ce mécanisme.

Le mouvement #MeToo, lancé en 2006 par Tarana Burke, a connu une seconde vague en 2017 grâce à Alyssa Milano, qui a révélé les abus de Harvey Weinstein. Ce geste a encouragé de nombreuses autres femmes à prendre la parole sur les violences sexuelles et sexistes qu’elles ont subies.

Ce phénomène s’est étendu à plusieurs secteurs, dont celui de l’animation, où une prise de conscience s’est opérée grâce à des témoignages poignants, comme celui d’Anissa Maille en 2022 qui a mis en lumière le #MeTooAnimation. Ces révélations ont conduit à des mesures concrètes, telles que la formation obligatoire des animateurs à la prévention des violences sexistes et sexuelles (VSS) et la création d’une charte pour encadrer ces actions.

La formation des animateurs est au cœur de cette évolution. Elle leur permet de mieux repérer, prévenir et accompagner les victimes de violences. Le rôle des formateurs et des directeurs, qui sont aussi en contact avec les jeunes, est également primordial.

Les engagements pris par l’UFCV

L’UFCV a adopté plusieurs actions afin de prévenir et lutter contre les violences sexistes et sexuelles au sein de sa structure :

• La signature de la charte de lutte contre les violences sexuelles et sexistes mise en place par le gouvernement ; 
• La création d’une cellule dédiée à la prévention et la lutte contre les VSS, qui s’adresse à toutes les personnes en lien avec l’UFCV ;
• La rédaction d’une charte interne d’engagement et de prévention (disponible en FALC).